Stocker plus d'informations en base de données
Les partenaires suisses souhaitent développer une interface graphique basée sur SeedPSD afin de remplacer totalement PQLX/SQLX. Pour cela, ils demandent à modifier la structure de la base de données afin d'autoriser des requêtes directes (sans passer la couche logicielle PPSD) et permettre une sélection par fréquence et amplitude en plus de la sélection actuelle par datetime.
Cela nécessite, a minima, d'exploser la colonne Trace.data en une table secondaire où chaque valeur du vecteur data[] correspondrait à une ligne de la nouvelle table. Ces valeurs sont à croiser avec le contenu de la propriété ppsd.psd_periods (ou ppsd.psd_frequencies). Attention, une telle modification provoquera inévitablement un grossissement de la base et un ralentissement de SeedPSD (les requêtes seront plus complexes et lourdes à traiter).
Voir le fichier doc/known-limitations pour plus de détails.
De plus, il pourrait aussi être intéressant de stocker en base la valeur des paramètres ayant servi à l'initialisation d'un objet PPSD. Pour le moment, c'est unifié et codé en dur dans seedpsd/tools/ppsd.py. Stocker en base ces paramètres (en les liant à chaque Stream ?) permettrait de réutiliser les valeurs PSD déjà calculées et stockées en base tout en autorisant la modification des paramètres pour les calculs ultérieurs.
Actuellement, si les paramètres codés pour l'initialisation de l'objet PPSD ne sont pas les mêmes que ceux ayant servi au calcul, les données stockées en base ne sont plus utilisables.